Partir vivre en Seine-Maritime : le témoignage d’Isabelle

Aujourd’hui, nous partons en Seine-Maritime avec le témoignage d’Isabelle, parti sur un coup de tête pour oublier le “métro, boulot, dodo” de Paris !

Avant toute chose, comment êtes-vous arrivé(e) sur Paris et pour quoi faire ?

Je suis arrivée à Paris en 2009 par le biais d’une mutation professionnelle au sein d’un groupe international.

Combien de temps êtes-vous resté(e) sur Paris ?

7 ans

Quelles raisons vous ont poussé à quitter Paris ?

L’envie d’une qualité de vie, de respirer, de ne plus prendre le train. En bref : oublier le “métro, boulot, dodo”.

Maintenant que vous avez quitté la capitale, où habitez vous ? Que faites-vous ?

J’habite en Seine-Maritime, proche de la mer et je travaille dans une association pour l’insertion professionnelle.

Partir de Paris : comment vous êtes-vous décidé et avez-vous franchi le pas ? Comment choisir la ville ?

Décision prise sur un coup de tête, mise en application méthodique qui a duré 8 mois. Le lieu n’a pas été choisi au hasard : lien familiaux.

Quels sont les points positifs de votre nouvelle région / ville ?

La campagne, l’air, la mer, le calme, les horaires permettant d’être rentree plus tôt à la maison. Incivilités moins fréquentes. Ville portuaire, plage etc…

Quels sont les points négatifs de votre nouvelle région / ville ?

Transports en commun moins développés. Obligation de prendre la voiture.

Quels conseils donneriez-vous aux parisiens qui veulent partir ? Ressources utiles, personnes à connaitre, outils…

Surtout, garder le cap. Ne pas se décourager face aux portes qui se ferment et ne pas avoir peur de l’inconnu. En tout premier lieu : TROUVER UN EMPLOI – ce qui – en région – n’est pas toujours chose facile. Négocier une date d’arrivée en cohérence avec votre situation immobilière et éventuel préavis (si possible, informer votre employeur de votre souhait de quitter Paris pour faciliter votre départ) et considérer positivement la baisse des revenus . Une fois cette étape franchie, le reste suivra.. c’est l’effet domino !

Merci à Isabelle pour son témoignage !

Publié le 13 Mar, 2018